Nom : ???
Prénom : Saïx
Surnom : Le divin lunaire
Date de naissance (Age): on lui donnerait physiquement la vingtaine
Sexe : masculin
Lieu de naissance : Kingdom Hearts
Lieu de vie : Illusiopolis
Race : Simili
Groupes : Organisation XIII
Classe : Chevalier ( Hm, je dois dire que c’est compliqué ^^’ aucune classe n’est adapté à Saix…. Vu que c’est un berserk ~~ qui manipule la magie de lune)
II/ Physique
Taille : 1m 80
Poids : 80 kg
Couleur des yeux : Il a les yeux de couleurs jaunes, semblable à ceux d’un félin. Lorsqu’il devient berserker, ses yeux sont totalement jaunes.
Couleurs des cheveux : ses cheveux sont teintés bleus. Deux mèches devant ayant un dégradé, des épis sur la tête, le reste tombant tel une cascade en arrière. Il semblerait que Saix prenne soin de sa chevelure.
Style vestimentaire : Comme tout membre de l’organisation XIII, il porte un long manteau noir avec une capuche. Deux longs fils pendouillent le long de son torse ainsi qu’une chaîne. Il porte aussi un pantalon noir et chaussé de botte en cuir de la même teinte. Il a des gans tout aussi sombres que sa tenue.
III/ Caractère
Qualités : Saix est ce qu’on puit nommé le plus fidèle de l’organisation XIII. Son grade de bras droit ne lui a pas été dans une pochette cadeau. Contrairement, à la plus part des membres, le divin lunaire à un self contrôle remarquable. Il ne combat pas aveuglement et même tri ses proies. Il étudie soigneusement, afin de connaître point forts et faibles de l’adversaire. A vrai dire, s’il pouvait se passer de duel, cela l’arrangerait. Généralement, il joue le rôle de l’inspecteur, étant donné qu’il doit s’assurer qu’il n’y ait pas des traîtres. Saix est franc et ne sous estime pas les autres. Il peut même se montrer très diplomate, quand il n’est pas sous son autre facette. Lorsqu’il a un projet, il est très déterminé, n’hésitant pas à se sacrifier pour le devoir du maître. Il n’est pas du genre à se laisser rabaisser, encore moins à répondre aux menaces. Pour lui, agir dans le calme et la sérénité, c’est le mieux. Bien qu’il « aime » titiller les nerfs des humains. Saix est très mature et son charisme est remarquable. Il sait s’imposer et se présenter quand il se doit. Lorsqu’il y a un conflit dans l’équipe, il n’hésite pas à trancher l’affaire.
Défauts : sa cruauté. Sous ses petits airs de grand gentleman, Saix n’est pas aussi « adorable » qu’on pourrait le prévoir. Il n’est pas friand de câlin et est terriblement pudique.
Comme tout Berserk se respecte, il est égocentrique .Lorsqu’on cherche à le connaître, il devient aussi froid qu’une banquise du pôle nord. Il n’hésite pas à fuir les moindres questions en changeant de sujet. Il parle peut et est très renfermé sur lui-même. De plus, sa seconde personnalité, le force à rester tout le temps concentré, ce qui peut le fatiguer très vite, lorsqu’il y a une lutte entre les deux âmes. Voir pire, lorsqu’on tente de lui foutre la pression. Il ne supporte pas les traîtres et devient très vite un monstre intrépide. Lorsqu’il est en berserk, il n’a qu’une pensée : « tuer ». Il devient assoiffé de sang et cherche à détruire son adversaire. Il est en clair, incontrôlable. Dû moins, la seule personne apte à lui faire reprendre connaissance, est le Supérieur : Xemnas.
Aime : Je pourrais vous poser une question, qu’est ce que je puis aimer, sans avoir de cœur ? Malgré cette absence de cœur, Saix semble avoir une grande admiration pour Xemnas.
Aime pas : idem! bien qu'il semblerait qu'il n'apprécit pas les traitres.
IV/ Histoire
(Je préviens juste que j’ai inventé une bonne partie de l’histoire)
Son humain se nommait Saï. Le monde auquel il existait était presque semblable à celui de la citée de crépuscule, sauf que la politique était similaire à une monarchie. Il vivait dans un monde moyen âge, duquel on ignorait la science et encore moins ce qui toucha par malchance le jeune humain. En effet, très vite, il déploya une maladie que l’on nomme chez nous, une schizophrénie.
Au début, sa famille n’en prêta guerre attention. Il était né chez des Nobles, lui offrant le savoir et la discipline stricte. On ne peut pas dire qu’il fut très comblé, il ne connaissait pas la tendresse d’une mère et encore moins l’échange d’opinion. Il avait toujours été soumis aux lois familiales, devant montrer la fierté de son nom.
Au fil des années, il fut adapté à cette éducation. Il se montrait comme un vrai gentleman. De plus, il avait une culture hors du commun. Saï aimait la lecture et l’écriture, la philosophie et surtout les psychanalyses. Il avait presque envie de se lancer dans la psychologie, si bien pour comprendre les autres, que pour apprendre d’avantage sur sa maladie qui gagnait du terrain. Mais, là où il se trouvait, il ne gagnerait pas de sous, mais plutôt à finir sur le bûché.
Les parents cachaient les problèmes de santé de leur fils. A vrai dire, ils niaient presque les faits. Lorsqu’il avait une crise. On n’hésitait pas à l’assommer ou à l’enfermer dans la cave. Il n’était pas rare qu’il soit battu et traité de fou. Son père craignait qu’il ne puisse offrir son héritage, ayant perdu son second fils lors d’une chasse. Sa mère aurait bien voulu le faire marier à une noble et qu’il déguerpisse.
C’est à ses dix huit ans que le malheur arriva. Il perdit le contrôle lors d’un repas familial, faisant un bain de sang dans le salon. Quelle ne fut pas l’horreur de se réveiller face à ses parents égorgés devant ses yeux. C’est aussi à cette année précise que les sans cœurs commencèrent à débarquer sur les terres. Depuis, tout être hors norme ou susceptible de servir le « diable », était brûlé vif. Prit sous le coup de la panique, Saï s’enfuit redoutant le pire.
Ils leurs fallut peu de temps avant de le retrouver. Une servante avait observé la scène de massacre et s’était enfuit afin de chercher de l’aide pour la défunte famille. Il fut enfermé dans une prison, attendant son heure d’exécution.
Quelques jours plus tard, On lui annonça la sentence. Il allait être guillotiné sur la place, aux yeux de tous les villageois. Humilié avant d’être exécuté, tel était le sort des mis à morts. Même lorsqu’on ne connaissait pas la personne, les villageois prenaient un plaisir à insulter et jeter des pierres. Ce soir là, la lune était présence, une pleine lune, si belle et hypnotisant. Lui qui aimait la regarder, déprimait rien qu’à l’idée de périr devant cet astre. Alors qu’il s’apprêtait à être exécuter, une masse importante de sans cœur attaquèrent la ville. Il tenta de profiter de ce chaos pour s’enfuir. Mais, faute d’être attaché, il subit le même sort que les habitants.
Lorsque Saix ouvrit pour la première fois ses yeux, ce fut dans une demeure aussi blanc que de la porcelaine. Quelqu’un l’avait embarqué et le maintenait. Un homme costaud et aussi colosse qu’un géant : c’était Lexaeus. Le berserk était encore dans un état comateux. Saix avait perdu quelques partiels de sa mémoire, certains évènements n’étaient plus en tête. En fait, il ne se souvient que des pires moments. Celle de la maltraitance et de l’humiliation. Il ignorait que le simili l’avait sauvé de la destruction de son monde. On l’avait posé dans une des chambres, le temps qu’il prenne des forces.
Dans ses débuts, il était presque aphone, il restait silencieux, écoutant simplement. A vrai dire, il ne cherchait pas à discuter avec les autres. Mais très vite, Xemnas le remit dans « le droit chemin », le faisant sortir de son épaisse coquille pour apprendre à utiliser ses capacités. Le numéro sept fut confronté à un point qu’il n’avait pas encore remarqué. Visiblement, son âme était scindée en deux. Le côté calme et diplomate et la bête immonde. Il eut pas mal de problème, le simili faisait beaucoup de dégâts. Mais, sa force qu’il avait du mal a contrôlé, intéressait les autres. Après de lourds entraînements, il réussit à prendre le dessus, réveillant cette partiel quand le moment était venu de le faire.
Prouvant ses forces et sa fidélité, Saix devint le bras droit de Xemnas et promit de le suivre, en échange d’obtenir un « cœur ».
V/ Capacités
Bouclier